Blason
 
Les Infos de l'ASPACB
Numéro 10 - Octobre 2007
Association
pour la Sauvegarde
du Patrimoine
Architectural et Culturel
de Blénod-lès-Toul

Place du Château
54113 Blénod-lès-Toul
03 83 62 47 04
aspacb@free.fr
http://aspacb.free.fr
Editorial
Depuis plusieurs semaines, l’Association a réalisé plusieurs manifestations ouvertes à tous.
D’abord, la deuxième édition de la journée Haz’Arts qui était l’événement de l’année au titre du Vème centenaire des travaux de l’édification de l’église Saint-Médard. Haz’Arts a connu un franc succès avec la reconstitution du mariage lorrain à la mode 1900 et avec l’accueil d’une trentaine d’artistes dans les loges de l’Association, ouvertes pour la circonstance. Cette journée a nécessité une longue préparation comme le soulignent les articles sur les divers chantiers antérieurs.
Ont suivi les Journées européennes du Patrimoine au cours desquelles chacun, petit ou grand, a pu bénéficier d’une visite commentée.
Puis eut lieu le concert de l’orchestre symphonique Gaston Stolz qui a joué Haendel et Mendelssohn. Quarante instrumentistes et autant de choristes étaient venus occuper le chœur, le transept et la première travée de la nef pour nous offrir un spectacle d’une qualité remarquable : tous les auditeurs ont été sincèrement enthousiasmés par la musique jouée ce soir-là.
Enfin le docteur Hachet a donné une conférence sur le cochon, à la suite d’un repas inspiré par le thème de la conférence, dans la nouvelle salle polyvalente.
Les diverses activités, sauf la dernière peut-être, donnent incontestablement aux habitants de Blénod des occasions de redécouvrir les bâtiments anciens du village, d’en souligner l’originalité et les spécificités. Cette mise en valeur des bâtiments, par des travaux bien sûr, mais également par des animations doit inciter les Béléniens à tirer du passé des exemples pour envisager l’avenir avec confiance.
Daniel BRUNHES
Sommaire

Programme d'activités
Editorial
Décès
L'automne éveille les sens
Chantier de bénévoles 2007
Chantier d'été (bis)
Un escalier fort utile
Remise en état de la Loge du Patrimoine
Maxime SCHORP
Monsieur le Curé
Amusons-nous un peu
Rôti de porc aux pépins de potiron

L’automne éveille les sens
Si l’été a permis à l’Association de mettre l’accent sur l’aspect bâti du patrimoine à travers les chantiers organisés et l’avancement des travaux, l’automne (et la fin de l’été) nous a conduits davantage sur le versant culturel des objets de l’Association.
Ainsi, dès le 9 septembre, les premiers fruits des chantiers de l’été voyaient le jour à l’occasion de la deuxième édition de Haz’Arts dont le thème était, cette année, « la mode et ses créations ». De nombreux artistes et artisans avaient répondu présents à l’invitation lancée par Nicole SIMONIN et la Commission Animation. Le beau temps fut de la partie et les visiteurs ont pu admirer les créations exposées et présentées par les dentellières, brodeuses, perlières et autres artistes dans l’écrin que leur offraient les loges et le château.
Un temps fort de la journée fut la reconstitution d’un mariage du début du siècle dernier, depuis l’enterrement de la vie de garçon du futur marié jusqu’à la photo sur le parvis de l’église. Cette reconstitution avait reçu la collaboration des élèves de l’école qui avaient réalisé des panneaux sur le thème du mariage à travers des traditions et dictons lorrains.
Comme annoncé depuis longtemps, c’est un magnifique concert symphonique que l’Association proposa le 29 septembre dans le cadre du  deuxième Festival international d’Orgues du Toulois. L’Orchestre Gaston Stolz et le Chœur de Bouxières-aux-dames vinrent enchanter les auditeurs aux échos de Haendel et Mendelssohn-Bartoldy.
Une fois la vue et le toucher charmés par Haz’Arts, l’ouïe par le concert, il ne restait plus qu’à satisfaire l’odorat et le goût, ce qui fut atteint par le repas-conférence du 9 octobre. Après un repas convivial dont le menu était en accord avec le thème de la conférence, il fut possible d’entendre le Docteur HACHET présenter un animal qui lui est cher, le cochon, une bête singulière, assaisonnant la rigueur de ses connaissances de savoureuses anecdotes.
La participation nombreuse à ces différentes manifestations constituera indéniablement un encouragement à poursuivre de la sorte la volonté d’animation du village, aux côtés et en collaboration avec les autres associations.
Jean-Loup HAZAËL-MASSIEUX
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Programme d’activités

Retenez d’ores et déjà la date du 26 janvier 2008, fixée pour notre Assemblée générale annuelle.

Groupe
Décès

L’Association s’associe à la peine des familles de nos membres ou sympathisants décédés depuis notre dernier bulletin.
Maxime SCHORP
Abbé Jean-Marie CHAROY
Claude VOSGIEN


Chantier de bénévoles 2007

Le troisième chantier d’été initialement prévu sur une semaine s’est finalement étalé sur quinze jour, du 23 juillet au 4 août.
Dalle de cheminéeCe sont en réalité trois chantiers simultanés, qui ont regroupé une vingtaine de bénévoles, hommes et femmes sur cinq types de tâches.
  1. Nettoyage, défrichage, de l’espace 458 situé derrière la boulangerie Sattin.
  2. Nettoyage et réorganisation  du musée.
  3. Préparation de la fête HAZ’ART par un groupe de femmes autour de Nicole Simonin : Confection de costumes, de banderoles,  etc.
  4. Réalisation d’un plancher selon la technique du gueusage, dans le rez-de-chaussée haut de la loge 451 : dépose du vieux plancher, remplacement des solives détériorées, calage et mise à niveau, pose d’un parquet en chêne, confection de la dalle de cheminée en pierre d’Euville.
  5. Enduit des murs de cette même loge.
GueusageA signaler tout spécialement la création d’un superbe escalier en chêne, reliant le rez-de-chaussée bas au rez-de-chaussée haut de la loge 452 par Jean HUMBERT.
Cet escalier permet désormais l’utilisation des w-c et des douches du rez-de-chaussée bas aujourd’hui opérationnels, réalisés par les chantiers bénévoles durant l’année 2006.
Comme par le passé l’Association remercie les nombreux Béléniens qui ont offert des denrées alimentaires, ou même des repas complets, qui sont venus améliorer l’ordinaire de la cantine conviviale du chantier.   
Aloys GEOFFROY
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Chantier d’été (bis)

CoutureJamais, la salle polyvalente n’a autant mérité son nom que durant ce mois de juillet 2007 !
Jamais, les gens qui l’ont fréquentée, ne se sont montrés aussi polyvalents !
Tôt dans la matinée, CERTAINES remuaient les casseroles pour remplir, à midi 30, les assiettes des grands travailleurs du « chantier masculin ». Pourquoi cette précision ?
Eh bien, parce qu’il y a eu aussi « un chantier féminin » (dont je viens d’évoquer, un peu au-dessus, la tâche principale) ou presque… .puisque Jean est venu donner un coup de main pour scier, clouer, agrafer ou tout simplement faire le commissionnaire – au service de ces dames.
Elles occupaient tout l’espace de cette grande salle qu’elles avaient divisé en ateliers diversifiés …(pas du tout clandestins !) car elles ont reçu la visite
·de généreux donateurs en légumes, fruits, ou plats tout prêts pour les repas, tissus, ficelle, dentelles
·ou d’étranges silhouettes, toutes de noir vêtues, en tailleur ou redingote, la tête couverte d’une capeline ou d’un haut de forme, les yeux cachés derrière des bésicles ou une voilette. Haz’arts se préparait pour « le mariage au début du siècle précédent.
D’autres jouaient les petites mains : il fallait remettre en état les costumes récupérés, les raccourcir, les allonger, recoudre un bouton, carrément créer à partir de coupons (robes fillettes) et elles ne levaient pas le nez de leurs machines à coudre.
D’autres encore coupaient, épinglaient les grandes lettres colorées de HAZ’ARTS pour coudre sur les calicots blancs, ou des triangles de tissus chamarrés pour les fanions.
Pendant ce temps, quelques unes, dont 2 très jeunes, accroupies sur le plancher, collaient les travaux des enfants des écoles (thème du mariage) sur du carton (collecté durant la semaine), puis les montaient sur baguettes de bois.
GroupeDeux fleuristes arrangeaient avec goût leurs bandes de papier crépon pour en obtenir de jolis bouquets de fleurs.
Les grilles des balcons, jardin et  terrasse du jardin avaient fière allure le 9 septembre !
Et puis, pour être au goût du jour, un atelier informatique a fonctionné toute la semaine : réfléchir à la composition des flyers - entrer la liste des exposants et les lieux d’exposition - réaliser des affichettes pour la buvette, la restauration, la signalisation – imprimer l’acte de mariage lu par Monsieur le Maire.
Ambiance assurée, mais pas le temps de papoter, juste celui de trouver une « nouvelle idée de travail » (encore une !), et celui de goûter un gâteau apportée par l’une ou l’autre.
Merci amical et chaleureux à Paoline, Mégane, Bérengère, Fabienne, Nelly, Véronique, Lucie, Annette, Paulette, les 3 Jeanine… et Jean (cherchez l’intrus !)
A l’année prochaine avec plaisir !
Nicole SIMONIN

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Un escalier fort utile

La réhabilitation des deux loges 451 et 452, dont les murs qui font face au bas-côté sud de l’église ont été réenduits en laissant les pierres à vue, a beaucoup progressé durant l’été.
Jean HUMBERTNon seulement les installations sanitaires (deux douches et un W-C) fonctionnent au niveau du rez-de-chaussée bas, mais un parquet vient d’être refait à neuf au niveau du rez-de-chaussée haut. Si dans chaque loge, le rez-de-chaussée haut communique avec le premier étage (niveau supérieur, immédiatement sous le toit), par un escalier, jusqu’à la mi-août, aucun rez-de-chaussée bas ne communiquait directement avec le rez-de-chaussée haut.
C’est maintenant chose faite, depuis la création par Jean HUMBERT, ébéniste à la retraite, d’un superbe escalier en chêne reliant les deux niveaux. Dans cet espace exigu et qui présentait des contraintes multiples, le problème avait été soumis à l’homme de l’art inventif. Ce dernier a trouvé une solution sous la forme d’un escalier fort agréable à emprunter et qui rend les installations sanitaires accessibles par l’intérieur du bloc des cinq loges que nous avons progressivement mis en valeur le long de la ruelle de la Poterne.

Daniel BRUNHES
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Remise en état de la loge du Patrimoine

Lors du chantier de bénévoles de la dernière semaine de juillet 2007, alors que, dans l’ancienne salle polyvalente, une équipe innombrable de dames cousait, lavait et repassait des dentelles et des costumes, coupait des banderoles et confectionnait des oriflammes ou collait des panneaux pour préparer HAZ’ARTS, (on aurait dit un atelier chinois clandestin), une équipe d’hommes conseillés par Jean et Paulette Humbert, travaillait au montage des solives et un plancher dans la loge 451 pour que l’on puisse affronter la commission de sécurité sans faillir, ce qui fut fait.
Loge du PatrimoineDans la loge, dite du Patrimoine (458), un trio de choc constitué de Jeannine Jouron, Philippe Hennequin et Dominique Notter s’est attaqué à la remise en état de la loge.  En effet, il y a douze ans, la mise en état des objets reçus à l’époque avait été effectuée par Robin Charuel et Dominique Notter, les vêtements et les dentelles lavés et repassés par les soins de Paulette Bosetti qui avait aussi équipé les trois mannequins : Théodore, Euphrasie et Nestor, tandis que l’étiquetage et le fichage avaient été assurés par Josette Grivelet et Jean Odinot. En effet, une obligation s’impose lorsque l’on veut créer un musée : chaque objet présenté doit être numéroté et cette cote reportée sur des fiches et dans des cahiers, où l’objet est nommé et daté dans la mesure du possible, son usage défini et son origine indiquée.
Depuis cette époque, la réfection de la cave a été menée, lors de deux chantiers de jeunes bénévoles, d’abord par un décaissage pour récupérer une vingtaine de centimètres ce qui permet maintenant de se tenir debout dans la cave, puis par une remise en état des objets avec l’aide d’une ébéniste. Mais aux deux étages supérieurs, rien n’avait été entrepris pour la maintenance à part le nettoyage occasionnel de la pièce principale.
Le travail de ces derniers temps a consisté d’abord à la remise en état par  Jeannine des nappes, vêtements et dentelles, de la couverture au crochet  et des broderies rouges de la cheminée et de la lampe, sans oublier le « moïse ». D’autre part, un dépoussiérage implacable a été mené partout pour tenter de chasser toutes les toiles d’araignées et les meubles, en particulier la belle armoire lorraine qui remplace le regretté pétrin de Royaumeix, mais aussi les vendangeuses, les chaises et le porte-tendelin, ont subi un shampoing à la cire. Quant aux faïences, elles ont été lavées dans l’évier de l’Association (car il y a maintenant l’eau et le tout-à-l’égout dans la loge 452 !).
OutilsA l’étage grenier, les objets aratoires (« snaux », tire-rigoles, kas divers, serpes et serpettes, paniers, charpagnes, banc à échalas, tendelin…) ou de professionnels (cordonnier, boulanger, menuisier-ébéniste….) demandaient un sérieux travail de remise à neuf. Les parties métalliques ont été traitées au désoxydant, les bois au xylophène, à l’huile de lin + térébenthine ou à la cire selon leurs besoins. Par ailleurs, le présentoir pour les petits objets a été entièrement refait par Philippe Hennequin: nouvelles plaques de bois solides à la place des plaques cartonnées défoncées et renouvellement du jute. Le bois des escaliers blanchi par le temps a aussi été passé au brou de noix.
Mais il reste encore à poursuivre l’enregistrement et l’étiquetage des objets nouveaux que nous avons installés sauvagement (Marie-Louise Didelot en a encore apporté quelques-uns l’autre jour, merci à elle !). Heureusement Jean Odinot a retrouvé des boîtes de plaques de carton de chocolat que sa sœur Paulette conservait soigneusement ! Il faut aussi s’occuper de l’entretien des objets de la cave. Soit encore quelques bonnes journées de travail !
Dominique NOTTER
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Maxime SCHORP

Nous avons appris le décès le 20 septembre dernier de Monsieur  Maxime SCHORP.
Successivement P-DG du bowling Joffre à Nancy et de celui des Nations à Vandoeuvre, il avait acquis avant sa retraite le moulin des Onze Fontaines, plus souvent appelé « Miche » par les Béléniens, pour y faire vivre son goût de la nature et des animaux.  En bordure de l’étang aux nénuphars, il avait fait construire une très belle maison, tout en conservant l’ancienne ferme. Ecologiste avant l’heure, il avait restauré la roue à eau qui assurait une partie de l’alimentation en électricité.
C’était une joie pour les enfants des écoles, qu’il avait toujours plaisir à accueillir avec son épouse, car, en dehors de l’accueil vigoureux  des deux labradors Ramsès et Apollon, on pouvait découvrir des oies, des poneys, des armées de canards ou de poules d’eau sur l’étang, des coqs et des poules à pantalons, puis pique-niquer au bord de l’étang près de la croix de mission avec toujours la surprise de recevoir des bâtons glacés ou des friandises.
Par ailleurs, il n’a pas hésité, lors de sept chantiers de bénévole successifs , à accueillir avec son épouse des jeunes, le plus souvent étrangers, en particulier des macédoniens ou des ukrainiennes lors du dernier chantier en 2004. Et, à cette occasion, au cours de leur séjour, Monsieur et Madame SCHORP recevaient non seulement tous les jeunes du chantier, mais aussi beaucoup de membres de l’Association, pour un déjeuner gastronomique sur leur terrasse dans un environnement champêtre très agréable.
Et chaque année, et en diverses circonstances financières difficiles, ils ont aussi manifesté leur générosité vis-à-vis de l’Association du Patrimoine.
Que Madame Anita SCHORP et sa famille soient assurées de notre profonde reconnaissance et de nos pensées de condoléances attristées.
Dominique NOTTER
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Monsieur le Curé

Abbé Jean-Marie CHAROYC'est le 15 octobre 2007 que l'Abbé Jean-Marie CHAROY décédait à son domicile, 3, rue de la Barre à Blénod-lès-Toul. Agé de 90 ans depuis le 13 mai dernier, cela ne faisait que quelques années qu'il avait été mis à la retraite après avoir servi Blénod-lès-Toul et Mont-le-Vignoble pendant plus de quarante ans.
Celui qui restera pour bon nombre d'entre nous « Monsieur le Curé » avait très tôt été sensible à la richesse du patrimoine du village et à son histoire. Héritier en cela de plusieurs anciens curés du village, il avait été sollicité par ses nouveaux paroissiens pour composer un petit livret présentant le village et son patrimoine, ce dont il s'acquitta avec intérêt et générosité puisque la publication fut réalisée à compte d'auteur. Lorsque l'idée de créer une association pour sauvegarder non seulement l'orgue de Saint-Médard, mais aussi l'ensemble du patrimoine du village, son souci du rassemblement, par delà les frontières des convictions religieuses, idéologiques ou politiques, le poussa à fonder avec Aimé RICHARD et Pierre-Alain ANTOINE l'Association. C'est donc cet esprit qui présida à la création de l'ASPACB, il y a plus de vint-cinq ans.
Depuis, il n'avait cessé de soutenir l'Association non seulement par sa cotisation, mais aussi par ses dons et prêts, par son active collaboration dans l'organisation de concerts et l'annonce régulière des manifestations organisées.
Lorsque l'Association entreprit d'organiser des chantiers internationaux de jeunes bénévoles, il accepta bien volontiers de mettre à disposition les locaux des salles paroissiales pour héberger les jeunes et même de les véhiculer lorsqu'il fallait les conduire aux douches ou en excursion.

C'est donc avec cet exemple en tête que nous aurons à coeur de continuer à faire vivre l'Association et à tenter de rassembler les Béléniens autour de leur patrimoine. Encore merci, Monsieur le Curé...
Jean-Loup HAZAËL-MASSIEUX
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Solution de la grille de SUDOKU
du numéro précédent

Bien entendu les deux dates à retrouver étaient celles de la naissance et de la mort de Hugues des Hazards, à savoir, 1454 (ABCD) et 1517 (EFGH).
Solution du Sudoku
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Rôti de porc aux pépins de potiron

Pour 6 personnes
1,2 kg de rôti de porc       
30 pépins de potiron et épluchure   
4 cuillères d’huile
3 oignons               
2 échalotes   
Sel                  
 poivre       
1 cuillère de farine           
4 verres d’eau

Faire rôtir le morceau de porc de tous les côtés avec les oignons.
Quand il a pris couleur, ajouter une cuillère de farine. Remuer petit à petit pour faire prendre la farine en consistance.
Ensuite mouiller avec de l’eau.
Ajouter les pépins de potiron et laisser cuire 1 heure et quart.

Recette tirée de La Cuisine de Babette de Colette RICARD (née DEROUX, descendante par son père Camille DEROUX de Claude Gelée), proposée par Renée RICHARD


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